COGNITION

La mémoire n’étant pas un muscle, il n’est pas utile d’essayer de retenir « par cœur ».

Une méthode efficace pour mieux retenir et mieux se rappeler est de mettre en place une stratégie, comme les moyens mnémotechniques (ex : « Mais où est donc Ornicar ») ou encore mettre en lien une information nouvelle avec quelque chose que l’on sait déjà (ex : mon nouveau voisin s’appelle Louis, mon grand-père s’appelait aussi Louis et ils ont tous les 2 les cheveux blancs, cela peut m’aider à retenir son prénom.).

La mémoire n’étant pas un muscle, il n’est pas utile d’essayer de retenir « par cœur ».

Une méthode efficace pour mieux retenir et mieux se rappeler est de mettre en place une stratégie, comme les moyens mnémotechniques (ex : « Mais où est donc Ornicar ») ou encore mettre en lien une information nouvelle avec quelque chose que l’on sait déjà (ex : mon nouveau voisin s’appelle Louis, mon grand-père s’appelait aussi Louis et ils ont tous les 2 les cheveux blancs, cela peut m’aider à retenir son prénom.).

Il est tout d’abord important d’identifier les points forts et les faiblesses cognitives et de faire, pour cela, un bilan neuropsychologique, quand les difficultés sont très gênantes et/ou source d’inquiétude.

En fonction des résultats, des conseils peuvent être donnés pour réduire les gênes (ex : limiter le nombre de choses à faire en même temps pour favoriser la concentration, prendre des notes pour limiter les oublis…) ou une prise en charge spécifique peut être proposée (la remédiation cognitive).

Les patients se plaignent le plus souvent de problèmes de concentration et d’un ralentissement. 

Ils peuvent aussi éprouver des difficultés de mémoire (oublis des événements récents, de ce qu’ils sont venus chercher dans une pièce…), d’adaptation à des situations nouvelles (organisation/planification, flexibilité…) et de langage (mot sur le bout de la langue notamment). 

La maladie peut être responsable des oublis mais le surmenage également, ainsi il se peut que les deux jouent sur la mémoire.

A noter que par conséquent, il est possible de réduire, au moins en partie, les oublis en réduisant le surmenage.

Les trous de mémoire sont liés à la maladie et non au traitement de fond.

Mais certains facteurs (qu’on appelle « majorants ») peuvent venir les aggraver. C’est le cas de la fatigue, du stress, d’une dépression ou des douleurs notamment.

Il existe de petites « astuces » qui peuvent permettre de limiter l’impact d’un manque de concentration sur les tâches professionnelles.

Par exemple, ne pas faire trop de choses en même temps, faire des pauses (même petites, de 2-3 minutes), limiter le bruit et gérer sa fatigue (ne pas attendre d’être trop fatigué pour s’arrêter) peuvent être de bonnes aides au quotidien.

Ces signes peuvent être de ne pas se souvenir d’un film vu la veille ou du dernier repas fait en famille. Il peut aussi s’agir d’oublis de ce que l’on doit faire prochainement, de ce que l’on vient juste de faire ou de ce que l’on veut faire juste sur l’instant.

Quels qu’ils soient, si les oublis deviennent trop gênants, il est important d’en parler pour les évaluer, avec un(e) neuropsychologue, qui aidera également à trouver des solutions pour réduire les gênes.

Ces signes peuvent être de ne pas se souvenir d’un film vu la veille ou du dernier repas fait en famille. Il peut aussi s’agir d’oublis de ce que l’on doit faire prochainement, de ce que l’on vient juste de faire ou de ce que l’on veut faire juste sur l’instant.

Quels qu’ils soient, si les oublis deviennent trop gênants, il est important d’en parler pour les évaluer, avec un(e) neuropsychologue, qui aidera également à trouver des solutions pour réduire les gênes.

Si vous souffrez d'un problème de mémoire, il est conseillé d'en parler avec votre neurologue qui pourra vous orienter vers un / une neuropsychologue.

 Le / la neuropsychologue pourra vous donner des conseils adaptés à vos difficultés.

Il existe de petites astuces en cas de trous de mémoire, comme, par exemple, noter les choses importantes 📝. Il peut également être intéressant de faire un bilan cognitif, pour comprendre d’où viennent ces difficultés et y remédier au mieux.

Si vous souffrez d'un problème de mémoire, il est conseillé d'en parler avec votre neurologue qui pourra vous orienter vers un / une neuropsychologue.

 Le / la neuropsychologue pourra vous donner des conseils adaptés à vos difficultés.

Il existe de petites astuces en cas de trous de mémoire, comme, par exemple, noter les choses importantes 📝. Il peut également être intéressant de faire un bilan cognitif, pour comprendre d’où viennent ces difficultés et y remédier au mieux.

Les troubles cognitifs 💨 peuvent être présents dans la forme par poussée et la forme progressive. 

Au total, ils touchent environ la moitié des patients mais dans la majorité des cas, ils sont légers à modérés.

Les troubles cognitifs 💨 peuvent être présents dans la forme par poussée et la forme progressive. 

Au total, ils touchent environ la moitié des patients mais dans la majorité des cas, ils sont légers à modérés.

Les troubles cognitifs 💨 peuvent être présents dans la forme par poussée et la forme progressive. 

Au total, ils touchent environ la moitié des patients mais dans la majorité des cas, ils sont légers à modérés.

La SEP peut effectivement entraîner des troubles de la concentration, qui sont des troubles cognitifs. 

Ces troubles cognitifs sont caractérisés parfois par des problèmes de mémoire, des difficultés à s’organiser 📝 ou des difficultés pour trouver le bon mot par exemple.

La SEP peut effectivement entraîner des troubles de la concentration, qui sont des troubles cognitifs. 

Ces troubles cognitifs sont caractérisés parfois par des problèmes de mémoire, des difficultés à s’organiser 📝 ou des difficultés pour trouver le bon mot par exemple.

La SEP peut effectivement entraîner des troubles de la concentration, qui sont des troubles cognitifs. 

Ces troubles cognitifs sont caractérisés parfois par des problèmes de mémoire, des difficultés à s’organiser 📝 ou des difficultés pour trouver le bon mot par exemple.

Pour réduire des problèmes de concentration, il peut être utile de prendre son temps, d’éviter de faire trop deux choses en même temps et de limiter le bruit et les distractions autour de soi. 

Faire des pauses ❎, mêmes courtes, et varier ses activités au cours de la journée peut aussi aider.

Le rôle du neuropsychologue est tout d’abord d’identifier 🔎 le profil cognitif (forces et faiblesses cognitives) grâce au bilan 📝 réalisé avec le patient. 

Il va également repérer les possibles facteurs de majoration de ces troubles (fatigue, stress, dépression, douleurs…) et proposer les aides 🆘 les plus adaptées. 

Enfin, il va restituer les résultats du bilan 📋 au patient (et son entourage si présent) ainsi qu'à son neurologue référent.

C’est votre neurologue référent qui peut vous orienter vers un(e) neuropsychologue.

 Tous les professionnels de votre parcours de soin (comme les infirmières ou les assistantes sociales par exemple) peuvent aussi repérer le besoin d’un bilan cognitif 📝 et vous orienter vers un(e) neuropsychologue. 

N'hésitez pas à en parler avec votre équipe médicale si vous ressentez des diffucltés cognitives (difficultés d'apprentissages, troubles de la mémoire, difficulté d'attention,...).

Votre équipe médicale vous orientera vers les neuropsychologues de votre secteur géographique, qui travaillent en cabinet libéral, dans les centres hospitaliers et de rééducation, ou encore au sein du réseau alSacEP.

C’est votre neurologue référent qui peut vous orienter vers un(e) neuropsychologue.

 Tous les professionnels de votre parcours de soin (comme les infirmières ou les assistantes sociales par exemple) peuvent aussi repérer le besoin d’un bilan cognitif 📝 et vous orienter vers un(e) neuropsychologue. 

N'hésitez pas à en parler avec votre équipe médicale si vous ressentez des diffucltés cognitives (difficultés d'apprentissages, troubles de la mémoire, difficulté d'attention,...).

Votre équipe médicale vous orientera vers les neuropsychologues de votre secteur géographique, qui travaillent en cabinet libéral, dans les centres hospitaliers et de rééducation, ou encore au sein du réseau alSacEP.

Pour prendre en charge des troubles cognitifs, il peut être proposé une remédiation cognitive.

La remédiation cognitive ne vise pas à faire disparaître ces troubles mais à réduire leur impact sur les activités quotidiennes (par exemple, en trouvant des techniques pour mieux se concentrer ou mieux mémoriser).

Pour prendre en charge des troubles cognitifs, il peut être proposé une remédiation cognitive.

La remédiation cognitive ne vise pas à faire disparaître ces troubles mais à réduire leur impact sur les activités quotidiennes (par exemple, en trouvant des techniques pour mieux se concentrer ou mieux mémoriser).

Une évaluation puis une remédiation cognitives peuvent optimiser les chances de réussite 🎓.

L'évaluation avec un/une neuropsychologue peut permettre de trouver le projet (d’études ou professionnel par la suite) le plus adapté à vos difficultés. 

Le/la neuropsychologue peut également vous accompagner pour mettre en place les aides nécessaires (par exemple : adaptation du temps de réalisation des examens lors des études / adaptation du poste de travail ou des missions lors d’une activité professionnelle).

Les patients se plaignent le plus souvent d’un ralentissement, de difficultés d’attention ☁️ (rester concentrer, faire plusieurs choses en même temps), d’oublis ou encore de difficultés à s’organiser ou à trouver le bon mot.

Les troubles cognitifs, quand ils sont présents, peuvent l’être dès le début de la maladie ou apparaître avec l’évolution, indépendamment des autres symptômes de la maladie. 

Ils sont variables d’un patient à l’autre et il est difficile de prédire leur apparition et leur évolution.

Différentes « astuces » peuvent être utilisées, en fonction des difficultés rencontrées.  

Comme par exemple : prendre des notes en cas de difficultés de mémoire, ménager ses capacités attentionnelles lorsqu’elles sont fragilisées…. 

Une prise en charge spécifique, la remédiation cognitive, peut également être proposée en cas de fortes gênes au quotidien.

Prendre en charge les possibles facteurs aggravant les troubles cognitifs (comme la dépression, le stress, la fatigue, les douleurs…) peut également aider.

Différentes « astuces » peuvent être utilisées, en fonction des difficultés rencontrées.  

Comme par exemple : prendre des notes en cas de difficultés de mémoire, ménager ses capacités attentionnelles lorsqu’elles sont fragilisées…. 

Une prise en charge spécifique, la remédiation cognitive, peut également être proposée en cas de fortes gênes au quotidien.

Prendre en charge les possibles facteurs aggravant les troubles cognitifs (comme la dépression, le stress, la fatigue, les douleurs…) peut également aider.

Les troubles cognitifs peuvent être présents dans toutes les formes de la maladie (récurrente rémittente, primaire progressive ou secondairement progressive).

Les troubles cognitifs peuvent être présents dans toutes les formes de la maladie (récurrente rémittente, primaire progressive ou secondairement progressive).

La SEP peut causer des troubles cognitifs 🧠. 

Les personnes atteintes de SEP se plaignent parfois de perte de mémoire, de difficultés de concentration, impression de perdre ses mots, d'une mémoire floue, d'une lenteur mentale, etc. 

Si vous ressentez ces symptômes, il est important d'en parler à votre neurologue qui peut vous proposer un bilan neuropsychologique. 

La SEP peut causer des troubles cognitifs 🧠. 

Les personnes atteintes de SEP se plaignent parfois de perte de mémoire, de difficultés de concentration, impression de perdre ses mots, d'une mémoire floue, d'une lenteur mentale, etc. 

Si vous ressentez ces symptômes, il est important d'en parler à votre neurologue qui peut vous proposer un bilan neuropsychologique. 

La SEP peut causer des troubles cognitifs 🧠. 

Les personnes atteintes de SEP se plaignent parfois de perte de mémoire, de difficultés de concentration, impression de perdre ses mots, d'une mémoire floue, d'une lenteur mentale, etc. 

Si vous ressentez ces symptômes, il est important d'en parler à votre neurologue qui peut vous proposer un bilan neuropsychologique. 

Il faut d’abord comprendre l’origine de la baisse des performances, grâce notamment à la réalisation d’un bilan cognitif, dont les résultats permettront d’orienter vers la prise en charge la plus adaptée.

Il faut d’abord comprendre l’origine de la baisse des performances, grâce notamment à la réalisation d’un bilan cognitif, dont les résultats permettront d’orienter vers la prise en charge la plus adaptée.

Le bilan neuropsychologique est constitué de tests cognitifs (de mémoire, de concentration, de raisonnement, de langage notamment) qui permettent d’identifier vos forces et vos faiblesses cognitives. 

L’entretien mené par le/la neuropsychologue est également très important pour repérer les éventuels facteurs pouvant aggraver ces troubles (fatigue, stress, dépression, douleurs…) et pour orienter vers les aides les plus adaptées.